🏒 Il A Peur De S Engager Et Me Quitte
Ilme quitte enceinte de 2 mois Résolu. Lea0613 Messages postés 8 Date d'inscription samedi 25 juin 2016 Statut Membre Dernière intervention 28 juillet 2016 - Modifié par Laura_redacJDF le 29/06/2016 à 14:41 Lavie - 21 juin 2022 à 15:56. Bonjour, C'est la première fois que je viens sur un forum. Voilà mon histoire. J'ai une merveilleuse petite poupée de 3 ans, le
Jai peur de m’engager. Depuis un moment je sais pas comment ou à quoi cela est du mais j’ai peur de l’engagement. Je sais pas j’ai peur de discuter avec un homme et nous mettre ensemble dans le but de se marier bien sur j’ai peur de l’échec ou qu’on de correspond pas ou que je
Italie: le désastre (dés)organisé. Alors que la droite et l'extrême droite menacent de remporter les élections législatives du 25 septembre, le
Bonjourà tous, Le titre résume à peu près la situation et j'ai, clairement, besoin d'avis extérieurs afin de démêler la réalité de mes espoirs. Je reprends donc depuis le début de l'histoire. Moi, 36 ans, lui 41. Je l'ai rencontré en novembre,
Ilfaut se dire que dans la plupart des cas, un phobique de l'engagement a en réalité peur que sa liberté soit bridée. Donc, il faut agir en conséquence pour
Bonjour Je suis avec mon copain (il a 30 ans )depuis 9 mois; on ne vit pas ensemble, mais on s'aime. Tout va bien entre
Suiteà la lecture de cet article il me reste quelques questions à vous poser. Je vis en ce moment une relation de couple avec un homme depuis 5 mois qui m’a avoué avoir du mal à s’engager. On habite à 2h de route l’un de l’autre et nous avons tous les deux des métiers très chronophages ce qui fait que l’on a du mal à se voir
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Ilme confiait au bout de quelques mois avec l’une d’elle : « elle commence à me parler d’avenir et à s’attacher, il va falloir que je la quitte. ». Ses conquêtes étaient pour lui plus des plans réguliers que de véritables relations.
9Lguk. Le Cri, Edvard Munch, 1883Le 3 août dernier, dans La Repubblica », le journaliste Francesco Merlo exulte après l’accord politique passé entre Enrico Letta qui préside aux destinées du PD Partito Democratico – centre-gauche et Carlo Calenda, fantasque homme politique et homme d’affaires[1] qui a créé son propre parti Azione social libéral après un parcours mouvementé y compris au sein du PD. Il s’agit donc d’un accord de coalition sensé faire front à la droite et l’extrême droite en passe de remporter les élections législatives du 25 septembre prochain[2]. Le journaliste de Repubblica commente avec lyrisme ce qu’il n’est pas loin de considérer comme un accord historique Cette grande coalition nouvellement née est un autre pas, peut-être définitif, vers le Bad Godesberg d’Enrico Letta. Un choix définitivement occidental et européen de la gauche italienne. » Il poursuit C’est seulement aujourd’hui, en cet été 2022 que la gauche humiliée et résignée a relevé la tête … La gauche italienne a fait sienne le style Draghi » non par imitation, qui est une non-valeur, mais par citation créative » et par faculté mimétique ». Ces lignes ne mériteraient pas une aussi longue citation si elles n’étaient pas aussi révélatrices de l’état du PD et donc du centre-gauche », de la capacité de nuisance de ce personnage éminemment opportuniste et narcissique qu’est Carlo Calenda et enfin, ce n’est pas négligeable, de ce qu’est devenu La Repubblica » dont son fondateur et directeur historique Eugenio Scalfari, décédé le 14 juillet dernier, avait fait jadis un journal de est donc intéressant — et révélateur — de s’attarder sur cette séquence politique qui peut sembler formellement anecdotique, mais qui en dit long sur l’état de la politique italienne. Une référence d’abord — et elle est loin d’être innocente — Bag Godesberg » est la localité où se déroula en 1959 le congrès du SPD et où la sociale démocratie allemande renonça à toute référence au marxisme et à la lutte des classes. Modernité, pour les uns, trahison pour les autres, par extension l’expression Bad Godesberg » désigne le moment où la gauche se convertit définitivement au libéralisme. L’expression va revenir…Le spectacle Calenda » et l’agenda DraghiLe contexte pour avoir une chance de faire barrage au trio Meloni-Salvini-Berlusconi, le système électoral et la réduction drastique du nombre de parlementaires adoptée en 2020[3] exige de former une coalition. Pour rappel, en juin dernier lors d’élections municipales, Enrico Letta avait choisi la stratégie de l’alliance large campo largo » qui regroupait autour du PD la gauche de Sinistra Italia »[4], Europa Verde éco-socialiste, les Cinque Stelle et les centre-droits de Calenda et de Renzi Italia Viva. Avec, de surcroit, plusieurs têtes de liste choisies parmi les mouvements sociaux et qui ont su redonner vigueur et espoir à l’action politique. Le succès fut au rendez-vous plusieurs villes reprises à la droite, mais tempéré par un taux d’abstention record plus de 40 % dans certaines villes et le fait que droite et extrême droite restaient majoritaires dans le pays. Par ailleurs, ce modèle civique » n’est guère reproductible au plan national. Mais ce qui a surtout changé la donne, c’est le refus catégorique du PD de s’allier encore avec les Cinque Stelle après que ceux-ci aient refusé d’accorder la confiance au gouvernement Draghi dont ils faisaient partie en raison de divergences sur des revendications sociales et environnementalistes, mais aussi par nécessité d’exister politiquement. Le refus de vote des 5 Stelle, mais aussi celui de la Lega et de Forza Italia avait entrainé, le 14 juillet dernier, la démission de Draghi et la convocation de ces législatives. Pour Letta qui se revendique comme LE parti du Premier ministre la citation créative » pour dire comme La Repubblica, quitte à y perdre sa propre identité, le crime de lèse-Draghi était irrémédiable. Exit donc les Cinque 5 Stelle dont Letta avait pourtant fait de son alliance, la pierre angulaire de sa stratégie politique. On peut certes comprendre la difficulté de collaborer avec un mouvement et son président Giuseppe Conte qui accumulent les indécisions et les voltefaces. Mais les chiffres — et la sociologie électorale — sont là les Cinque Stelle qui n’ont jamais été un mouvement de gauche portent DES revendications de gauche et ont capté, en son temps, un électorat de gauche désorienté et en même coup, Enrico Letta portait prioritairement son regard vers le centre et le centre droit, estimant sans doute que c’est sur la droite qu’il faut reprendre des voix… même s’il devait aussi se garder à gauche. Compliqué ce genre d’équation faite de contradictions insurmontables. Restait donc à constituer une coalition avec à la fois le centre droit de Calenda et la gauche de Fratoianni Sinistra Italiana- SI. Comme leurs programmes sont incompatibles le marché contre la solidarité, la méritocratie contre l’égalité, le nucléaire contre la transition, l’atlantisme contre le pacifisme, etc., seul un accord technique où chacun conserve son autonomie politique pouvait être envisagé. Et donc le premier accord est conclu le 2 août entre Letta et Calenda et son alliée +Europa [libéral/européiste] d’Emma Bonino. À la surprise générale, le président du PD accorde 30 % des candidatures à Azione. Ce qui est sans rapport avec son poids politique réel. Et, de surcroit l’accord électoral est présenté par Calenda comme un accord politique qui a pour base exclusive l’agenda Draghi » [en gros les réformes » voulues par l’Europe en échange du plan de relance]. Calenda parade dans les médias, occupe le devant de la scène et reçoit les lauriers de La Repubblica. Fureur du côté de la gauche de voir le libéral mener la danse avec l’approbation tacite de Letta. Mais, on l’a vu, au risque de perdre un pan entier de son électorat et d’alimenter un peu plus l’abstention, celui-ci est contraint de signer un accord parallèle avec Sinistra Italiana [auquel s’oppose près la moitié de ses membres] et Europa Verde. Fin provisoire de la séquence et d’une semaine vaudevillesque. Mais quatre jours après avoir triomphé, Calenda dénonce l’accord. Il ne veut pas être associé à des communistes ». Et significativement, il va utiliser les mêmes mots que le journaliste de la Repubblica, mais cette fois pour dénoncer Letta Je me suis trompé, dit-il. Naïvement j’ai pensé que le PD était prêt à faire son Bad Godesberg. » Naturellement Calenda savait que l’accord avec la gauche était à la fois prévu et indispensable à la coalition. Qu’à cela ne tienne, coutumier du fait, Calenda retourne casaque et s’associe avec son meilleur rival, Matteo Renzi pour former un troisième pôle » du centre. Comme Premier ministre et comme secrétaire du parti, Renzi a voulu anticiper Macron et a enfoncé le PD dans le marécage du social-libéralisme. Il a ensuite fait scission pour créer Italia Viva, un parti centriste et charnière qui peine à décoller, mais qui conserve sa capacité de nuisance. Calenda et Renzi ont en commun d’avoir un égo hypertrophié et de considérer la politique comme une activité à des fins personnelles deux coqs dans le même poulailler, a commenté la presse. Mais le principe de réalité a imposé l’union improbable sortant de la coalition avec le PD, pour se présenter seul Calenda devait rassembler 38 000 signatures d’ici le 21 août et, pour sa part, Renzi savait que seul, il risquait de ne pas atteindre le seuil de 3 % des suffrages indispensable pour obtenir des Viser à gauche ou à droite ? Cette chronique des soubresauts préélectoraux peu relevés est cependant significative. Débarrassé, à son corps défendant de l’hypothèque Calenda, le PD va-t-il assumer une politique un tant soit peu plus à gauche ? Rien n’est moins sûr. En offrant la tête de liste PD pour le sénat à Milan à l’économiste libéral Carlo Cotarelli, Letta continue à donner des gages à droite. Une promotion d’autant plus piquante que Cotarelli avait déjà contribué, notamment, au programme économique de Calenda. En même temps [si l’on ose dire], le PD a quelque peu rosi » son programme notamment en se prononçant pour un salaire minimum et en s’engageant à lutter contre les contrats précaires [installés jadis par Matteo Renzi et son jobs act »] en favorisant les contrats à durée indéterminée pour les jeunes. Peppe Provenzano, responsable de la politique du travail au PD commente le programme en ces termes Nous devons aller dans les lieux qui ne comptent pas. Démontrer qu’ils peuvent compter sur nous. Si les salaires n’ont plus été augmentés depuis 1990, c’est aussi de notre faute », et d’ajouter nous avons un programme clair, mais il doit s’accompagner d’une bataille politique cohérente ». En effet. Et il est vrai que le programme du PD a de vrais accents progressistes en matière de droits sociaux et civils, d’école et de transition écologique. Mais quelle très courte campagne va-t-il mener ? Comment concilier ce programme et l’appui indéfectible au draghisme » ?La question vitale pour le PD — en dehors même de l’échéance électorale — est de retrouver l’électorat populaire qui l’a progressivement quitté depuis deux décennies au fur et à mesure qu’il privilégiait les politiques social-libérales. La question est posée à tous les partis sociaux-démocrates ou de centre-gauche européens.[5] En Italie, on a baptisé le PD, le parti de la gauche ztl [zone de trafic limité] autrement dit des quartiers de centre-ville occupés par la classe moyenne supérieure [et les bobos], et dont il a suivi les aspirations plus sociétales que sociales. Comme en France, les périphéries populaires sont désertées par les anciens partis socialistes qui ont modifié leur fond de classe ». Certains au PD en sont conscients, mais ils demeurent minoritaires et ce ne sont pas les options de la direction actuelle qui modifieront ce rapport de force. On le sait, le poids de Sinistra Italiana et de Europa Verde sera marginal et sert essentiellement de couverture de gauche à la coalition. À gauche de cette constellation des tentatives sont en cours, mais elles sont bien hypothétiques tant dans la capacité de rassembler les signatures nécessaires à la présentation des listes que, le cas échéant, de dépasser les simples candidatures de témoignages. La plus crédible est sans doute l’Union Popolare dont le candidat porte-parole est l’ancien maire de Naples Luigi De Magistris. L’Unione qui présente un programme classique de gauche radicale C’est un programme pour la paix, résume De Magistris, pour la justice sociale et environnementale, pour les droits des travailleurs, pour les étudiants, pour les pensionnés. Pour tous ceux qui ces dernières années se sont sentis blâmés par ceux qui, riches et privilégiés, refusent d’admettre que les politiques qui leur garantissent richesse et privilège détruisent le pays. » Cette affirmation pacifiste mise en avant du programme détonne évidemment avec le climat hyperatlantiste et guerrier que l’on retrouve dans la plupart des partis et des médias italiens. L’Unione Popolare est notamment soutenue par Rifondazione Communista et Potere al Popolo ainsi que par des mouvements sociaux et des intellectuels. Mais le défaut majeur de ces listes est qu’elles ne sont concoctées à la dernière minute que pour une échéance électorale et ne correspondent à aucun travail politique laboratoire politique, encore…Difficile de ne pas sombrer dans le pessimiste à cinq semaines à peine de cette confrontation électorale majeure qui permettra peut-être pour la première fois depuis, le ventennio » mussolinien à une Première ministre d’extrême-droite de diriger le désastre [dés] organisé a encore bien des origines. Dire que l’Italie est un laboratoire politique est un truisme. Elle l’a été pour le meilleur avec le rôle joué par le PCI jusqu’en 1991 [date de son autodissolution] et le pire avec le Berlusconisme qui pendant deux décennies anticipait le trumpisme. Et encore, paradoxe pour l’un des pays les plus politiques au monde, avec les tentatives répétées de retirer le gouvernement du pays aux partis politiques pour le confier aux techniciens » [économistes ou banquiers][6] généralement appuyés par de larges majorités priées le plus souvent de soutenir des politiques d’austérité. Il y a là aussi, sans doute, un vieux rêve libéral [celui qui va de Hayek à Giddens] de subordination, voire de disparition de la politique au profit de l’ dit, la crise sanitaire et ses conséquences ont partiellement modifié ce cadre notamment en matière d’austérité et de libéralisation à outrance. Mario Draghi en a évidemment tenu compte notamment dans les mesures proposées dans le cadre du projet de relance européen. Mais, comme toujours dans ces cas de figure, de par leur formation et de leur passé professionnel et idéologique, ces techniciens » adoptent le point de vue patronal, matinée parfois, de quelques mesures sociales [comme ce fut le cas avec Draghi]. Ils ne peuvent totalement ignorer les partis politiques, mais ils peuvent, à leur manière, paralyser la scène politique… jusqu’à ce que celle-ci prenne sa revanche. Si le concept de bonne gouvernance » est un fourre-tout qui sert généralement de justification à des réformes » libérales qui ne sont pas nommées, la question du bon et du mauvais gouvernement », pour reprendre la parabole des fresques d’Ambrogio Lorenzetti[7] ne peut pas être ignorée dans un état qui a été mis en coupes réglées par un demi-siècle de domination démocrate-chrétienne et vingt ans de berlusconisme. La critique de la politique et des politiques a quelques raisons d’être, qu’elle débouche sur le succès de partis antisystèmes ou la naissance de gouvernements de techniciens. Mais l’un comme l’autre finit par entrainer la déliquescence ou l’asphyxie de la politique et se traduit alors par une abstention massive. Ces dernières années, plus que tout autre pays, l’Italie a connu ces situations. Et comme par ailleurs, le fait que, dans leur conversion au social-libéralisme, les formations de [centre] gauche aient mené au pouvoir la politique de la droite n’a fait qu’accentuer le la volonté existe, la pente sera dure à remonter. Mais la question est cruciale, car encore une fois l’Italie risque d’être le laboratoire politique de l’Europe. Cette fois, comme un cauchemar grimaçant.[1] Deux fois ministre du Développement économique dans les gouvernements Renzi et Gentiloni 2016 à 2018[2] Voir ; À l’initiative des Cinque Stelle et soutenue par le PD, les deux partis étant alors partenaires de gouvernement.[4] Sinistra Italiana, fondée en 2017 écosocialisme et réformisme radical regroupe personnalités et militants issus notamment de SEL Sinistra, Ecologia e Liberta, des dissidents de gauche du PD et d’anciens élus 5 Stelle. Dans l’opposition au gouvernement Draghi. Pacifiste et anti atlantiste. Allié de Europa Verde, a décidé de former une coalition avec le PD comme lors des municipales de juin 2022 malgré une forte opposition de la base. Dirigé par Nicola Fratoianni.[5] Je revois à ce sujet au passionnant ouvrage de Mateo Alaluf, Le Socialisme malade de la social-démocratie, éditions Syllepse, 2021, 222 p., 18 €. Et à l’article que j’y ai consacré Les Présidents du Conseil Carlo Azeglio Ciampi 1993-1994, Lamberto Dini 195-1996 et Mario Monti 2011-2013[7] Les fresques ont été commandées par le gouvernement de la ville de Sienne, qui entre 1287 et 1355, était gouvernée par neuf citoyens renouvelés en un conseil de gouverneurs et défenseurs de la commune et du peuple ». Ils faisaient le serment d’utiliser tous les moyens possibles » pour la conservation, l’augmentation et la magnificence du régime en place ». Elles figurent dans la Sala della Pace du Palazzo Pubblico de Sienne.
Anonymous1391262, le 3/15/2009bonjour j'ai déjà laissé un post it récemment mais j'ai envie d'écrire à nouveau je suis avec un homme depuis le mois de septembre je l'ai rencontré à mon nouveau boulot depuis le début je suis folle amoureuse mais ne lui montre pas... très indépendante chacun faisait un peu sa vie puis petit à petit il y avait presqueplus de place dans sa vie pour moi... et c'est là où je me suis dis ca ne peut pas continuer comme ça... je lui dis que ca ne pouvait pas marcher comme ça qu'on allait pas se voir seulement quand monsieur le décide... pendant les vacances de noel je l'ai pas vu et me suis posé alors pas mal de questions... la rentrée a été dure mais il m'a dit de lui laissé une chance petit à petit mon amour était revenu... il a fait des efforts on s'est davantage vu on est partis au ski etc.. et même un weekend en amoureux... cependant juste après ce weekend il me dit le vendredi soir pour le weekend que son frere vient..alors on se verra le dimanche soir... voilà chui restée bien bête et me suis dit bé je pensais qu'il avait compris ce que c'est puis pof je me retrouve tte seule comme une pauvre conne alors que j'avais trop envie de le voir.... le dimanche soir arrivant sachant que j'ai ruminé tout le weekend je lui ai dit que ca m'avait vraiment rendue malheureuse sa facon de faire et me suis sentit vraiment pas bien tout le weekend!!! je crois qu'il avait compris je lui ai envoyé un mail par la suite pour lui dire ce que je ressentais que j'avais besoin de plus qu'il soit attentionné qu'il pense à moi aussi et pas qu'à lui etc... après une semaine il me dit qu'il a réfléchi qu'il est trop null qu'il ne sait pas y faire qu'il a des sentiments pour moi et que c'est pour ça qu'il préfère me quitter qu'il me rend trop triste et que je mérite pas... moi je lui dis c'est sorti tout seul que j'ai vraiment mal au coeur et que je suis folle amoureuse... j'ai essayé de le questionner sur son envie d'être avec moi etc...mais pas trop positif...du coup ca était fini une semaine passe où je me remets en question aussi et me dis que je l'aime vraiment trop il a fait des efforts et que peut etre un jour il arrivera à répondre à mes attentes...il a pensé que j'étais vraiment au désespoir mais ce n'est pas le cas je suis très bien quand on est ensemble c'est son comportement en couple qu'il fait mal etc en gros je lui ai parlé et lui dit tout ça on s'est dit qu'on se redonnait une autre chance... bien qu'il ne peut pas me garantir qu'il s'investisse plus... pensez vous que je dois attendre qu'un homme s'il a confiance puisse s'engager plus ou que je perds mon temps... va t il un jour accepter la vie à 2? c'est à dire tout simplement penser à 2? je crois bien qu'il a vraiment peur... merci pour vos réponses je vous avoue je ne sais plus où donner de la tête? peut être faudrait encore en reparler? mais je n'ai pas envie d'insister?et de nuire à son éventuel envie de "progresser"?Alors je vais être franche j'ai vécu 5 ans avec un mec qui avait très pour trait le même comportement que ton homme envers et moi et..ça n'a jamais changé, pourtant j'y ai mis du mien, j'ai tout fait pour que ça marche mais avec les phobiques de l'engagement on ne sait jamais où l'on va, je l'aimais comme une folle, je pensais que c'était l'homme de ma vie et pourtant je l'ai quitté car 5 ans après c'était toujours pareil, il ne savais pas ce qu'il voulait, je ne rentre pas dans les détails mais aujourd'hui j'ai 33 ans, j'ai mis longtems à me remettre de cette histoire, et avec le recul je me dis que dès le départ les signes étaient évidents c'est juste moi qui est cru pour deux en une histoire sans avenirAnonymous1391262, le 3/17/2009merci pour votre réponse et effectievment je suis en train de réaliser tout ça en fait j'ai décidé de me détacher de lui mais je ne suis pas encore prete de le perdre mais je pense bien que la finalité sera celle que t'es en train de me donner c'est vraiment dommage ce genre de situation surtout pour lui finalement... mais cela fait seulement 6 mois que... peut être que? j'ai vraiement mal au coeur... il n'a pas pris gout à la vie à 2 alors?Anonymous1391262, le 3/19/2009merci pour vos réponses je pense que je vais avoir une discussion avec lui mais je crois qu'il faut pas ignorer l'évidence effectivement...je n'ai pas la prétention de dire que mon expérience vaut pour celle des autres mais malheureusement je suis là pour témoigner que cela n'a pas marché... Prendre goût à la vie à 2 si si il l'a pris mais quand il voulait ! C'est bien simple il faisait ce qu'il voulait quand il voulait, son indépendance et son goût pour les autres prenait le pas sur tout le reste. je ne dis pas que je n'ai pas vécu de belles choses, je l'aimais comme une folle, mais comparer à ce que j'ai souffert, à ce que j'ai pu pleurer en attendant qu'il m'appelle, veuille bien me voir etc...que j'en avais perdu le sens commun, mes amis me sommaient de faire quelquechose, de le quitter mais rien n'y faisait je suis allée jusqu'au bout croyant qu'un jour il changerait... et ce n'est JAMAIS arrivé ! Cette histoire m'a abimé, j'ai mis longtemps à m'en remettre et aujourd'hui, grâce à ma volonté et aussi grâce à l'homme qui partage ma vie je me dis que c'est ça la vraie vie être choyée être aimée ne plus se lever en pleurant et se coucher en déprimant, et que si c'était le prix à payer pour en arriver à la cette maturité et bien ça valait le coup, la rancoeur est passée mais le mal est quand même fait. Si je peux te donner un conseil passes ton chemin, oublies le, croire pouvoir le changer est une utopie et un jour tu tomberas sur un homme qui te voudra dans sa vie d'un trait et pas en pointillé.....Ce genre de personne ne change pas vraiment même s'ils font des efforts. Le mot pour résumé est que ce sont des égoïstes, et qu'ils feront toujours passer leur bien être avant leur compagne. Je suis restée deux ans avec ce genre de personnes, je ne dis pas qu'il n'y a eu que des choses négatives...il a tjs été gentil avec moi mais il était incapable de s'engager. Pour lui, le fait d'être en couple voulait dire qu'on pouvait continuer à vivre comme un célibataire!!!! Seul comptait ses loisirs et ses potes, le comble c'est lui qui est parti... Aujourd'hui, je pense que ces hommes ne se rendent pas compte du mal qu'ils peuvent nous faire var quelque part nous restons traumatisés le mot est peut être un peu fort par cette mauvaise expérience et nous sommes persuadés que tous les hommes sont comme ça. Pour ma part, j'ai du mal à faire confiance aux hommes et ça ne m'a pas aidé, mais je crois qu'on peut évoluer et je pense que tous les hommes ne st pas jepense qu 'il ets un peu egoiste et ca effectivemnt ca risque d epas changer. il te previent au dernier momntq ue son frere vient et que vous vous verrez pas le WE un manque de respect car toi tu ne peux pa fair d'autre plans a l'avance pour t'occuper. et peut etre une manipulation une facon d ete planter sans alternaive te se faire desirer!? deja c'et pas cool. "après une semaine il me dit qu'il a réfléchi qu'il est trop null qu'il ne sait pas y faire qu'il a des sentiments pour moi et que c'est pour ça qu'il préfère me quitter". alors la je trouve ca vraiment gonflé! ben ou i tellemnt plus facile de quietter que s eremettre en question et chnager une facon d efaire et tellement dur de prevenir l autre a l'avance qu on sera occupe....des fois que tu trouves aussi a t'occuper ailleurs et t'apercoive que finalemnt t'es pas si mal que ca sans lui et qu'il te manqu pas vraiment .... "il a fait des efforts et que peut etre un jour il arrivera à répondre à mes attentes..." honnettemnt si ca dmenade de sfeforts d eprendre l autre un minimum en compte c'est mal barré.... ipensez vous que je dois attendre NON! attendre quoi? qu'il change?? il smeble pas du tt en avoir envie alors n'y compte pas!! "va t il un jour accepter la vie à 2?c'est à dire tout simplement penser à 2?" il ne veut pas penser a deux c'est tellemnt plus simple comme ca il pense a lui et "si t'es pas contente je te quitte!! " ... Moi je crois que c'ets toi qui dverais avoir peur de perdre ton temps avec lui. t'inquiete spas de nuire a son eventulle envie de progresserelles ets a mon avis proche du ZERO aboslu. et ce n'est pas en paralantq ue tu la tuerais de tte facon... il va te falooir admettre l'evidence; il a pas "peur" ; il est juste egoiste. et le 3/23/2009Après, c'est une affaire de caractères, de personnalités ... on réagit tous en fonction de ça. Et lui n'échappe pas à la règle. Seul le temps te dira si le gars n'a effectivement pas envie de s'engager. Pour le moment, je trouve que c'est un peu tôt. N'attend pas trop de lui pour le moment. Mets toi à sa place. Il doit penser que si tu flippes comme ça maintenant, alors qu'est ce que ce sera une fois en couple ... Perso, je te conseillerais de le laisser venir et de le laisser prendre ses marques. Je ne te dis pas de rester passive dans ton coin. Aide le dans cette voie, continuez à vous voir, vivez le temps présent, profitez en. Tu verras bien ce que ça donnera sur la durée. Si tu vois que, dans quelques mois ça ne change pas, là , tu pourras te poser certaines questions ...Anonymous1391262, le 3/23/2009de toutes façons chacun me dit blanc et l'autre me dit noir s'il ne m'aimais pas je pense que je le sentirais et ce n'est pas le cas mais il a du mal à se dévoiler ce jeune...a parler il a une vraie carapace.. mais peut être j'arriverais à la percer...?Bjr celine, ce mec , s'il t'aimait ne te dirait pas "pour ton bien , on ne se v oit plus" , non c'est absurde, s'il t'aimait, il essaierait de discuter et de trouver un terrain d'entente. C'est ce que je pense, évidemment je ne détiens pas la vérité mais ça semble presque une évidence. le 3/23/2009bonjour merci pour ce message en fait j'ai 2 avis celui de - il est egoiste immature et changera jamais - il faut lui laisser le temps... et oui effectivement je suis angoissée car j'ai été déçue... et j'ai pas envie d'être en attente tout le temps et oui les mecs fonctinneraient un peu comme ça..masimon ex non...du coup ca me perturbe..il était toujours là pr moi etc... voilou merci et toi raconte un peu...12345
Cela fait 2 ans que nous vivons ensemble, au début, il n'était pas sûr, nous nous entendions très bien, l'amour était là , mais il avait peur de s'engager 2divorces avant moi. Puis, après quelques mois, il a foncé, nous avons acheté une ferme que nous étions en train de rénover, il y mettait tout son coeur et nous partagions ce plaisir. Nous avons vécu des moments extras moto, vacances, amis, famille etc... et ca le rendait très heureux, pourtant, ses craintes sont revenues, et a plusieurs reprises, il a provoqué des scènes incompréhensibles pour arriver à la rupture. A chaque fois, il revenait et paraissait encore plus amoureux et désireux de s'investir dans notre vie. mais ça lui a repris, cette fois, il est allé très loin, je ne comprends pas ce comportement. Il dit qu'il reconnait qu'il est difficile à vivre mais qu'il ne changera pas ! ensuite, il me fait les pires reproches afin de me rendre coupable de cette rupture. j'en ai assez de vivre ainsi ce sont des souffrances qui se répètent, et, au delà des souffrances du coeur, il me laisse dans une situation matérielle catastrophique et il s'en fiche ! je suis sidérée par sa lâcheté et son indifférence. Je sais que c'est fini mais j'aimerai comprendre son problème, quelqu'un pourrait-il m'expliquer son comportement ?
il a peur de s engager et me quitte